La cure de jouvence dont profite la compacte allemande se traduit, à l’extérieur, par quelques retouches sur la face avant. Dans l’habitacle, on note l’arrivée d’un chargeur de smartphone à induction et d’un nouveau combiné d’instrumentation incorporant un tachymètre numérique. L’écran de navigation, lui, bénéficie de symboles redessinés. Mais l’Astra ne se contente pas de quelques modifications esthétiques et peaufine également sa partie mécanique.
Les trains roulants ont été améliorés, et les amortisseurs sont nouveaux. Le châssis sport, proposé en option, se dote d’amortisseurs plus fermes, d’une direction plus directe et d’un train arrière à parallélogramme de Watt. Selon les déclinaisons, on pourra opter pour une boîte de vitesses manuelle à six rapports, une transmission à variation continue (CVT) ou une boîte automatique comptant 9 vitesses.
L’offre de motorisations s’articule désormais exclusivement autour de mécaniques à trois cylindres, en diesel comme en essence. Du côté du sans-plomb, la cylindrée de ces moteurs varie de 1,2 à 1,4 litre, et leur puissance s’échelonne de 110 ch à 145 ch. La gamme ne compte qu’un seul groupe au gazole, d’une cylindrée de 1,5 litre et décliné en deux niveaux de puissance: 105 ch et 122 ch. Les commandes pour la nouvelle Opel Astra devraient ouvrir dans quelques semaines.